La domination est très importante quand vous aspirez pratiquer le sexe BDSM. Mais cette domination se fait dans les règles de l'art. Il y a donc des principes à observer. Dans cet article, nous vous en parlons.
La domination soft
L'un des principaux principes de la domination dans le BDSM est la domination soft. Si vous voulez en savoir plus, lisez cet article sur ce site. En effet, le caractère sadomasochiste du BDSM dicte que lors de la pratique, il y ait un dominateur et un dominé. Le dominateur, peu importe qu'il soit homme ou femme, doit infliger une violence, une punition au soumis. Dans cette relation de dominateur et de soumis, le principe de la domination soft voudrait que la modération trouve une place déterminante. Il faudra alors prendre en compte les attributs physiques et psychologiques de la personne du soumis. Les punitions ne peuvent pas refléter un caractère très poussé ou violent. Le même principe impose au soumis de respecter le dominateur. On peut remarquer des couples où même soumis, celui qui doit recevoir la domination ne se laisserait pas faire. C'est une mauvaise manière de faire dans le sexe BDSM. Le soumis doit savoir que peu importe ce que fait son partenaire, c'est pour leurs satisfactions à eux tous. Il doit lui accorder sa confiance.
La domination hard
Parlant des principes de la domination, le hard en est un. En effet, il faut voir le présent principe comme une version plus intensifiée de la domination soft. Le dominateur a le pouvoir de faire subir au soumis toutes sortes de caprices. Le soumis lui doit respect tout simplement. Les limites à la domination sont tellement repoussées qu'il pourrait être conclu que selon la domination hard, il y a la tolérance totale. En réalité, cela n'en est en rien. Il y a bien des limites. Ces limites sont prédéterminées avant même de passer à l'acte. S'il y a des choses que le soumis n'aimerait pas qu'on lui fasse, il le dit en même temps et clairement. La technique d'alerte est aussi utilisée. Dès que la pratique devient intolérable pour l'un, il en fait part à l'autre par des signes ou des mots tels que STOP.